Chère pâquerette que j’écrase sous mon talon,

En ce printemps, je te sens bourgeonnant ! Plein d’énergie, tu es prêt à te mettre au service de Maîtresse, à la combler de toutes les attentions. Je te veux divertissant. Tu connais mon point de vue désormais : tu ne sers pas à grand-chose si ce n’est à me distraire. Et étant donné tes capacités, c’est déjà énorme.

Le retour des beaux jours, m’a donné envie de réaliser un nouveau shooting coloré dont est issue la photo de Une. Une oeuvre que J’ai intitulée La bourse ou la vie. Tu en découvriras d’autres dans ma galerie ici. 

Et puis, Grande Nouveauté ! Mon site compte désormais un onglet de plus, consacré à mon Lieu. Un Lieu, Trois univers : le boudoir pop, la chambre « Torture et Littérature » et le jacuzzi en folie, excellent pour le waterbondage (mais pas de jeux de noyade, trop compliqué de faire disparaître le corps avec le casse-tête du tri sélectif). Mon Lieu comprend 60 mètres carrés en plein Paris pour m’occuper de toi, te faire subir sévices et délices, t’ouvrir l’esprit, te guider vers ta destinée à mes pieds. Ici, tout est simple, écoute ma voix, obéis. Et chaque minute t’en révèlera davantage !

• Lors de notre première rencontre, je crée avec toi une intimité fabriquée d’où jaillit la sincérité.
• Je n’apprécie pas tes fourberies d’escarpin !
• Une rondelle ne fait pas le printemps.
• Le texte qui va suivre, n’est pas de Moi mais de Wendy Delorme. Il s’agit d'un extrait plein de profondeur tiré de son dernier livre Devenir Lionne (JC Lattès) où l’universitaire et écrivaine évoque avec poésie le fist-fucking : « Si sa main se retire, je serai rappelée à la surface du monde. Je redeviendrai pensées. Je ne serai plus moi, je serai mes pensées. Et j'ai besoin, parfois, que mes pensées s'arrêtent. Sa main au fond de mon ventre m'offre précisément cela. Si sa main se retire, le voyage retour prendra quelques minutes. Quelques minutes durant lesquelles chacune de mes cellules va d'abord refuser de muter dans l'autre sens, de revenir au réel.

J'aurai besoin alors d'être serrée, bercée et contenue, que ses bras autour de moi me rendent mes contours, ceux de l'extérieur.

Après que l'intérieur de mon ventre l'aura enveloppé, que j'aurai senti, absorbé ses doigts, puis sa paume repliée, repoussant de moi-même mes limites internes. Après que j'aurai été contours autour de son plein.

C'est presque trop, pourtant. C'est au seuil. Juste presque trop. Presque trop loin.

Mais l'abandon est dans ce presque.

L'espace de reddition sous mon niveau de conscience est dans ce presque trop loin. »

Un gros martinet en cuir de wapiti, d’une douceur extrême quand je te caresse avec. Bien mordant sur tes fesses, quand je me défoule avec.

Une énorme pompe à pénis offerte par mon jeune puceau Raphie. Ça permet d’allonger ton appendice, et surtout de le raffermir. Ainsi, j'enseignerai à toi, petite bite, un cours de physique sur le thème : "peut-on faire jaillir du vide la matière ?" Attention, interro écrite dans la foulée !

Maîtresse Gladys - Paris 11ème