C’est décidé, je prends la plume, mon blog ne peut uniquement contenir les comptes-rendus de séance enamourés de ceux qui ont trainé sur mon parquet. Pour ce premier article, je veux vous parler pénétration, sodomie, « enculage », appelé aussi « chevillage », l’une de mes pratiques favorites.
Souvenir, souvenir ! La première fois que j’ai pris possession du corps d’un homme avec un gode-ceinture, ce fût une révélation. C’était il y a bien longtemps. Mais je m’en souviens comme si c’était hier. Lorsque j’ai enfilé le harnais, ça m’a fait bizarre cette excroissance pubienne. Très vite, un sentiment de puissance m’a envahi suivi d’une grande excitation. Je ne faisais plus qu’une avec l’objet.
Celui que je m’apprêtais à transpercer n’était autre que mon petit ami qui aimait jouer les soumis. Au départ, c’était pour lui que je m’étais orientée vers la domination, avant de découvrir que j’aimais aussi ces pratiques avec d’autres personnes. Mais ça, c’est une autre histoire.
Revenons à notre mouton et à son fion. Au début, évidemment, je craignais de lui faire mal. Lui, frétillait à l’idée de se faire chevaucher par cette toute jeune femme, Domina en devenir. J’ai appliqué une bonne dose de gel, puis j’ai écarté ses fesses, guidé mon pénis jusqu’à son orifice. L’appendice a commencé à s’enfoncer très lentement à l’intérieur. Je le voyais peu à peu disparaître. Je n’avais jamais eu un tel point de vue : l’homme à quatre-pattes, la tête dans l’oreiller, fesses écartées et moi, au-dessus de lui, puissante, le possédant déjà. Cette image me frappait tellement que je faisais peu attention aux sensations. En revanche, les fois suivantes, j’ai été davantage attentive à cet aspect. Mais là, c’était tellement incroyable ce que je voyais, ce que je vivais… Pour la première fois, je me sentais virile. Une force s’empara de mes muscles et je commençais à aller et venir entre les reins de ma proie. Cette dernière respirait fort. Mon fessier se contractait pour donner de vigoureux coups de rein. J’avais toujours la sensation d’être femme mais avec un gros truc en plus, une femme complète, invulnérable. Étrange, n’est-ce pas ?
Je compris aussi l’effort que fournissent les hommes lorsqu’ils honorent une femme car prendre possession d’un corps demande une belle énergie, endosser le rôle de l’actif signifie donner, beaucoup. Le lendemain, j’avais de sacrées courbatures. Mais ça ne m’empêcha pas de recommencer encore et encore. Les années ont passé, et je suis toujours aussi heureuse en fière enculeuse.
O vénérée Maitresse, quelle joie de lire ce récit. Avoir été en votre possession à quatre-pattes ou lié sur le dos a été une expérience fabuleuse.J’étais émerveillé de votre implication et votre vivacité. Partager maintenant, un peu, votre ressenti ne fait qu’augmenter le délice du souvenir et rend plus douloureuse l’attente du jour où je pourrai vous revoir.
Votre serviteur
Jean-Pierre
Chère Maitresse Gladys,
Moi qui très jeune ne comprenait pas pourquoi les hommes voulait utiliser leur bite, moi qui avait tellement plus de plaisir a utilisé ma langue, vous avez les mots pour me faire comprendre ce plaisir a laquelle je n’accède pas et par contre à laquelle j’aime tant recevoir.
merci
jouet bertrand