Les caresser, les malaxer, les mordre, leur souffler dessus, comme j’aime m’occuper de tes tétons ! Je parviens toujours à trouver la bonne intensité pour un plaisir partagé. Oui, il n’y a pas que toi, vil soumis qui perçoit des sensations fortes lorsque je pratique le pincement des tétons.
Je te fusille du regard, tu baisses alors les yeux. Tes petites boules mammaires, je les titille, je les triture, je les tords comme si je montais le volume d’une radio pour amplifier la puissance. Ca fait mal hein ? Mais tout le plaisir est pour moi ! Mon sadisme, il y a bien longtemps que je l’assume haut et fort.
Allez ! Masse-moi les pieds ! Pendant ce temps, j’accroche les pinces à sein, celles auxquelles je peux ajouter des poids. Ton attention ne doit pas se disperser. Tu dois être concentré sur ta tâche pendant que je te torture. Voilà que j’ai bien envie d’alourdir le barda qui pendouille sur ta poitrine, un poids de plus sur chaque sein et hop ! La douleur se fait plus forte. Tu grimaces. Tu te remets à ta tâche, tu m’appuies bien sur la plante des pieds, je te sens aux ordres. Je te caresse la joue et t’enfonce un doigt dans la bouche puis je le passe sur tes lèvres.
Mais ma cruauté ne se fait pas oublier. J’ajoute un 2ème poids sur le sein droit, puis un 3ème, une douleur de plus en plus vive irradie bien au-delà du téton. Je m’amuse à balancer les poids comme des pendules. Je me ravie de te voir souffrir, supporter, stoïque, la douleur qui se diffuse maintenant dans toute ta poitrine. C’est un beau cadeau que tu me fais.
Le pincement des tétons a assez duré, tu vas être délivré. J’ôte la pince gauche, les endorphines te grimpent au cerveau. Tu t’abandonnes à moi. Je caresse la zone torturée, j’appuie dessus doucement, tes yeux s’embuent, c’est tellement émouvant. Mais il reste la seconde pince. Je l’enlève enfin. Tu m’offres ta douleur et je reçois ton énergie qui me galvanise. Cette libération engendre un puissant subspace, tu manques t’évanouir. Une jouissance douce suivie d’une grande détente nous envahit. Nous vibrons à l’unisson, nous planons. Une communion d’un instant qui semble éternel.
J aimerai tant trouvé une maîtresse qui me tourne ces tétons
l’art si subtile des tétons, j’ai la chance d’être éduqué par une Maîtresse qui adore les trituré dans tous les sens. Nos tétons sont sources d’une douleur intérieur qui nous amène à une introspection d’abandon à vos désirs de puissance que nous recherchons. Merci à nos Maîtresses