Julien s’est totalement abandonné à mes désirs. Lorsque je l’ai transformé en boniche, son fessier s’est alors embrasé. La salope s’est réveillée tel un incendie qui couvait depuis un an, date de la séance précédente. La soubrette s’est lâchée comme jamais, et le miracle se produisit. Son clito de jouvencelle faisait jusqu’ici partie des interdits. Trop sensible à la douleur, la donzelle avait demandé à Maîtresse de l’épargner côté tige. Mais lors de cette séance, tout bascula. Pour me faire plaisir et me montrer sa soumission sans borne à ma Personne, elle me supplia de celer l’appendice sous une épaisse couche de cire. Ce que je ne manquai pas de déverser avec un sadisme joyeux. Le feu s’étendit du derrière au bas ventre, et ma petite servante se révéla ainsi maso ardante. Voici son compte-rendu :
« Un an ! Cela faisait donc un an, jour pour jour, que je n’avais pas goûté au charme envoutant et terriblement vicieux de Maîtresse Gladys, et comme tout anniversaire, il mérite des bougies, j’y reviens plus tard…
Toujours cette appréhension avant le rendez-vous, mélange de crainte, de bonheur de retrouver Maitresse, mais de ne pas savoir où elle va m’emmener.
Deuxième séance avec Gladys, j’expérimente cette fois le rôle de boniche dans le style soubrette, culotte rouge, porte jarretelles, chemisier blanc transparent, petite jupe noire moulante, sans oublier le petit tablier !
Maîtresse a su m’exploiter avec tout son talent, pour passer le plumeau (et recevoir les fessées et gifles nécessaires lorsque je m’y prenais mal, lui servir le thé, qu’elle dégustera plus tard.
Donc pour fêter cet anniversaire, en boniche modèle je lui allume les bougies nécessaires, et me retrouve sur sa table, les fesses à sa merci, et elle commence à me faire goûter la coulée de cire sur mon dos, mes fesses, déjà de façon assez lointaine, puis comme je semblais ne pas détester, de plus en plus près, donc de plus en plus chaudement sur mes fesses.
Me voilà ensuite retourné comme une crêpe, pour me faire arroser de la cire brulante sur mon ventre, mes cuisses, progressivement puis de façon plus vicieuse comme seule Maîtresse sait le faire, pour mieux apprécier mes petits gémissements teintés de plaisir.
Tant et si bien que je lui demande même (elle avait décidé de m’épargner), de faire couler la cire sur ma petite bite épilée, ce qui m’a procuré douleur et plaisir, comme je pouvais m’y attendre.
Le thé avait été oublié ! Qu’à cela ne tienne, elle s’en est enfin saisie pour le boire à petites gorgées, non sans oublier de me le recracher sur la bite, et dans ma bouche, pour mon plus grand plaisir de recevoir ainsi la boisson sacrée de sa bouche.
Une fin de séance en feu d’artifice buccal, merci Maîtresse ! »
Il faut souffrir pour aimer
Magnifique séance pour une magnifique maîtresse
Encore un très beau récit