Si tu es abonné à ma newsletter, tu le sais déjà, il y aura bien une Pupute Party saison 2. L’évènement a déjà eu lieu, la photo de Une en est issue et je peux te dire que ce fut un grand cru de saucisses crues. Le compte rendu bientôt sur le blog, publication au bon vouloir de Maîtresse ! Cette mythique dévergonderie de puterie en folie, s’est déroulée sous l’autorité des Maîtresses Lutcha, Balkis et de Moi-même. Pour ces JO du dargeot, étaient en lice trois Puputes de haut vol, de la tapineuse de compète : Kamille, Sissy Emmanuelle et la désopilante Olivia qui s’était largement illustrée par ses prouesses lors de la première saison. Encore un fois, la candidate pas très candide, avait la pression de représenter mon écurie. Il faut dire qu’elle s’était entrainée sans relâche à la dilatation ! Voici un texte que je reçus de ma pute lettrée trois mois avant le grand raout. Prends-le comme un pré saison 2, la genèse de la baise.
Hasard et privilège de pute
« Au sortir de la douche, j’observe mon pubis. Je viens de le raser. J’aime ces préparatifs qui exaltent la libido, qui ouvre la porte à Olivia et son cortège de fantasmes.
Je me pince un téton tout en m’amusant avec la petite touffe de poil qui pointe mon clitoris. La peau de mes testicules est douce, je les prends en main et me dis que je suis une belle salope.
– Oui Maitresse, je suis votre petite bite, votre soumise.
-Tu te souviens de mon dernier message ?
-Oui Maitresse. Je suis une véritable pute qui doit toujours avoir sa chatte bien élargie, prête à recevoir toutes les offrandes !
-Et tu attends quoi…
Deux heures avant j’étais à Pigalle. Mon plug, trop petit, ne répondait plus aux exigences de la Maitresse. Je savais ce que je voulais. Le modèle avec une ancre, je ne souhaitais pas revivre l’aventure vécue dans le donjon de Gladys, elle ne sera pas toujours là pour le repêcher….
J’ai hésité quelques instants mais repartis avec le Medium. Le taille large avait la faveur d’Olivia. Elle veut toujours prouver qu’elle est encore plus salope que ce que l’on peut imaginer, mais il me faisait presque peur.
Je pris le temps de flâner dans le sex-shop. J’observais discrètement les clients, je fantasmais devant les pinces à seins, bracelets, godes, chaines et colliers. J’espérais une rencontre, il n’y avait que des couples… Même petit, le plug que je m’étais planté avant de partir, attisait les vapeurs qui chatouillaient mon corps. Tous ces objets en rayon finirent par exaspérer mes envies de soumission. En laisse, les mains derrière le dos, Maitresse Gladys exhibait sa pute à petite bite. Des couples en goguette étaient invités à jouer avec le clitoris d’Olivia et surtout à s’amuser avec le plug fixé dans sa chatte.
Il était temps de rentrer. Avant cela je choisissais le meilleur des lubrifiants et quittais les lieux.
Nu, les fesses sur le rebord de la baignoire, j’abandonnais tétons et petit zizi pour préparer ma chatte. Le liquide miracle faisait son office. Mes doigts jouaient délicatement en surface, attendant patiemment l’invitation à pénétrer. Moment délicieux, celui d’ajouter quelques gouttes de gel très assouplissant et glisser un premier doigt. Un accueil chaleureux incita l’annulaire à rejoindre son ami le majeur.
-Cochonne, tu aimerais que la Maîtresse te voit ? oui, ça m’excite tellement d’être soumise…
J’attrapais le nouveau plug, le recouvrais d’une fine couche de lubrifiant et le présentais à sa nouvelle amie. J’appuyais, j’enfonçais doucement, relâchais la pression puis gagnais quelques millimètres d’une légère poussée. Il trouva rapidement sa place, je ne pus retenir une exclamation devant la facilité de l’introduction.
-Ah ! quelle chienne lubrique tu fais….
Le souffle un peu coupé, je tombais à quatre pattes et remerciais Maitresse.
Deux semaines avant ce pur moment de plaisir solitaire, rentrant dans un café pour m’abriter de la pluie, j’apercevais Maitresse Gladys, le divin hasard m’avait mis sur son chemin. Elle était seule, un carnet ouvert sur la table, un stylo posé en travers, elle réchauffait ses mains autour d’une tasse de thé.
Elle attrapa mon regard. Surprise, elle prit quelques secondes avant, d’un bref mouvement des yeux, de m’inviter à sa table. Heureux de ce privilège, j’avançais docilement, elle était maitresse, malgré le lieu, j’étais toujours son soumis. Nous parlâmes du sujet qui nous réunit, j’espérais secrètement que nos échanges n’échappent pas aux tables voisines.
-Tu le sais que tu es bonne pute. Je pourrais te faire sucer n’importe quelle queue en te promenant en laisse, même ici… !
-Quand tu suçais Kamille, tu ne bandais même pas…
-ça t’a excité quand Lutcha a dû récupérer dans ta chatte le plug que tu avais avalé !
Les mots résonnaient comme des petites claques, excitante humiliation qui me remettait à ma place, soumise, je restais une cochonne qui mouillait sa culotte en toute circonstance.
Maitresse Gladys qui lit dans les petites salopes comme d’autres lisent dans le marc de café, a certainement vu que cet instant volé réjouissait Olivia la catin.
Je n’abusais pas du temps de la précieuse, je la quittais à regret et enfourchais mon vélo pour rentrer. Enfiévrée, ma chatte profitait des irrégularités de l’asphalte pour arracher à la selle des étincelles de plaisir.
De retour, je câlinais mon gland tout gluant de désir et du bout des doigts récoltais ses arômes de plaisir pour m’en délecter.
Je pensais à la maitresse, elle me disait que j’étais une véritable grosse pute dépravée. Cela m’excitait follement.
Vautré sur mon lit, je feulais en écartant largement mes cuisses à bout de bras. Maitresse me giflait, moquait ma petite bite sans utilité en me promettant de l’encager. La soumise à petit zizi puise bizarrement du plaisir dans l’ambiguïté de cette humiliation. Maitresse sait en jouer…
-Merci Maîtresse, merci…
Je gémissais, agitais mes fesses, l’air effleurait ma chatte qui suintait d’envie. Je lui fourrais un doigt puis un second. Le troisième trouvait difficilement sa voie, je poussais en vain. Cela réveilla le courroux de Gladys.
S’emparant d’un martinet, elle flagellait fortement mes fesses.
-Je veux que ta chatte soit prête à recevoir tous les calibres. Tu crois que je vais amener dans les soirées une trainée de petite envergure… Quand on a un petit sexe, on a au moins la politesse d’offrir une chatte très accueillante !!!
Sans me toucher, je giclais toutes mes couilles en implorant le pardon de la maitresse.
-Je ne te reverrai que si tu es capable d’avaler, sans broncher, ma plus belle bite…
– Maintenant tu manges ton sperme et tu réfléchis un peu…
L’image de Gladys s’évaporait doucement, j’émergeais au même rythme.
Dans la soirée j’envoyais un message à la Maîtresse pour la remercier de m’avoir accepté à sa table et lui avouais avoir mouiller ma culotte.
Elle me répondit que j’étais une souillon et qu’elle me voulait avec une chatte bien élargie.
J’ai aimé cette concordance de pensées. Soumise, j’y trouvais matière à fantasme. Je me mis à porter régulièrement mon petit plug taille S, pour finalement aller, un soir plus lubrique que les autres, chercher le taille M, qui fait le bonheur d’Olivia… »
Excellent texte et situation