Quel tourbillon de grand n’importe quoi ce jour-là ! Maîtresse Lutcha était venue me rendre visite, accompagnée de sa meilleure pupute : Kmille. De mon côté, j’avais convoqué la mienne, également tatapineuse de haut vol : Olivia. En perspective des raies jouissances, nous nous étions bien gaussées, Lutcha et moi. Il allait y avoir du spectacle ! Mais nous les dominas, nous n’étions pas là uniquement pour blaguer. L’affaire était sérieuse. Nous voulions tester nos débauchées de compétition sur un terrain inhabituel pour elles : allaient-elles s’entendre ? fusionner ? s’accoupler ? s’entrecroiser ? Réaliser des positions, véritables figures de style ? bref, faire ressortir leur chaudasserie la plus enfouie, voilà ce que nous exigions de nos soumis travestis. Olivia, qui possède un talent de plume certain, a écrit un texte en trois épisodes. Voici le premier, je distillerai la suite au gré du hasard des publications. Les photos sont issues de l’évènement. Ce qui est sûr, il y a là, le scénario de la prochaine série culte de Netflix : Puterie en folie.
A quatre pattes au milieu du salon, ma robe relevée sur les fesses, je me faisais consciencieusement défoncer le petit trou par Maitresse Gladys. Plus elle se glissait à l’intérieur, plus je me sentais salope. Je plongeais la tête dans les longs poils du tapis, je couinais mon plaisir et offrais encore plus ma chatte au pilonnage.
Mon petit clito se baladait dans le vide au rythme des assauts. Cela faisait bien rire Maitresse Lutcha qui vint me passer un collier de cuir autour du cou. Elle le serra fort et y accrocha une laisse qu’elle tendit à Gladys. Elle en saisit prestement la dragonne et tira dessus par petits à-coups pour me faire relever la tête.
Kmille vint s’asseoir en face de moi. Les bas tendus par un charmant porte-jarretelles, sa petite bite à l’air, elle faisait ce que Lutcha, sa maitresse, lui ordonnait.
De quelques grands coups de martinet sur le dos et les fesses, Lutcha réclama mon attention. Doucement, au creux de l’oreille, elle m’intima l’ordre de lécher les petites couilles de Kmille.
-Tu es une bonne petite pute, tu aimes vraiment ça, ça se voit !
Sa voix agissait sur moi comme un catalyseur de plaisir.
-Regarde toi ma petite salope. Tu n’as qu’une envie, avaler la petite chose de Kmille.
Je suppliais mes maitresses de me laisser sucer Camille qui écartait de plus en plus les jambes. J’avais aussi envie de glisser ma langue dans sa chatte, lui bouffer le trou. J’attendais l’autorisation des deux déesses pour me lâcher.
Je frissonnais des plaisirs de la douleur et de la soumission. Sacrée après-midi Puterie en folie ! Comment en étais-je arrivé là ?
La soumission est un jeu, Maitresse Gladys en fixe les règles et s’en amuse. Pour chacun de ses soumis, une partition.
Avant notre première rencontre nous avions eu une conversation téléphonique. Elle a besoin de comprendre ce qui anime la cochonne qui la contacte. On n’arrive pas avec son scénario tout écrit. C’est elle la maitresse. Elle titille, elle pousse à la confidence. Je lui avouais être nu sur mon lit, des pinces sur les seins et un plug dans la chatte, ma petite bite toute raide. Elle s’amusa de la situation, me donna rendez-vous en me promettant de belles surprises.
Je me souviens encore de la première fois où j’ai franchi sa porte.
-Tu enlèves tes chaussures et tu déshabilles.
Elle sourit à la vue du string qui écrasait mon clitoris.
-Les toilettes sont là, tu laves tes mains, ton cerveau et tu me rejoins à quatre pattes dans le salon.
Etrange, en quelques minutes, de se retrouver nu, la tête au ras du sol, les fesses en l’air, de mouiller comme une trainée et déjà se soumettre sans retenue. Prémisses qui, certainement, permirent à M. Gladys de comprendre quel type de salope était venu s’abandonner entre ses griffes.
Seul son plaisir la préoccupe, elle le dit et autorise seulement trois mots au novice. Trois couleurs qui éclaireront la scène de leur dramaturgie.
-Vert, tout en légèreté, si tu aimes ce je te fais subir.
Elle me fit relever, me passa deux bracelets en cuir qu’elle accrocha aux chaines fixées dans le mur.
-Orange, moins de légèreté plus de chaleur, si tu aimes mais que cela va trop loin.
Quelques tapes appuyées sur mon sexe.
-Rouge, le feu se répand, si tu n’aimes vraiment pas.
Je lui dis que jamais je n’utiliserai le vert et l’orange, seulement le rouge en cas extrême. Je reçu immédiatement une belle gifle, j’avais parlé sans demander la permission.
Elle me convia quand même à en dire un peu plus, j’expliquais que cela n’était pas au soumis de décider. Je baissais les yeux et attendais docilement la suite.
Totalement soumise à ses désirs, au fil des séances, je devenais sa pute obéissante. Attachée, fouettée, fessée, la chatte offerte à toutes les intrusions, j’avalais tous les godes qu’elle me présentait. Je les suçais goulument, les noyais de salive lubrifiante. Prises de tous les côtés, j’étouffais de plaisir.
-Tu vas en sucer des bites, tu avaleras leur jus et le tien.
J’en réclamais des grosses, des très grosses…
-Je ne t’ai pas demandé ton avis, je te dis ce qui va t’arriver.
Que va t-il se passer pour cette cette pauvre Olivia ? Suspens… Suce pen (is)
La suite de Puterie en folie bientôt sur le blog.
Ping : entrainement de pute avant le challenge de la fange - Maîtresse Gladys