Cher micro zizi ! 

Aucun symbole phallique ne me résiste ! shooting réalisé il y a quelques semaines quand tu pouvais encore te gratter les coucougnettes en caleçon sur ton balcon sans attraper un rhume de trompe. J’ai publié d’autres photos, une en home page, d'autres dans ma galerie

Quels sont mes désirs du moment ? j’ai comme une envie de te rendre studieux avec mon nouveau tableau noir ainsi qu'un authentique bureau d’écolier que j’ai chiné cet été. Qu’est-ce que je vois ? ton casier est bourré de tout un tas de godes de différentes tailles adaptables sur mon harnais. C’est du joli ! Quelle jeunesse dépravée ! Au coin ! Les mains dans le dos. Crois-tu que tu vas échapper à une punition vintage : fessées, martinet, cravache, badine, ceinture, règle en fer ? 

Mais c’est peut-être sous mon bureau, attaché, à me servir de repose-pied que je te préfère. Lis mon post à ce sujet.

Finalement, il est possible que je tranche (aïe, aïe) pour te féminiser, string et robe panthère, talons hauts. Pour moi, tu vas danser, faire bouger ton fessier, j’ai envie de jouer de la pute enchantée. L’important, c’est que tu me donnes ton intimité la plus profonde. Je désire la posséder, faire de l’entrisme. C’est mon côté trots kyste anal. Tu suis ? si ce n’est pas le cas, au moins essuie !

Je te fais rire ? Sache que c’est uniquement pour de détendre de l’arrière-train, que je puisse plus facilement y faire pénétrer ce que bon me semble : un gode, un masseur de prostate, un plug… trop banal ! Une racine de gingembre, un escarpin, un bouquet de fleur, une tirelire, un grille-pain, un smartphone, un bilboquet, un service à thé, un panneau sens interdit, une Renault Fuego sans oublier le ciré jaune de Greta Thunberg, les lunettes de soleil d’Anna Wintour… tout un inventaire à la Perverse !

« Je te persécute ? Non je te mère sécute ! »

« Devenir soumis, c’est s’arroger le droit d’être une nullité notoire en marge d’un monde régit par la performance. » Vraiment très belle cette phrase, je suis unE Génie !

J’ai pensé à toi, pauvre soumis martyrisé, en relisant la magnifique prose alcoolisée du grand Charles Bukowski : « Les Femmes : j’aimais les couleurs de leurs vêtements ; leur démarche ; la cruauté de certains visages ; de temps en temps, la beauté presque parfaite d’un autre visage, totalement et superbement féminin. Elles possédaient un avantage sur nous : elles planifiaient beaucoup mieux leur vie, elles étaient mieux organisées. Pendant que les hommes regardaient les matchs de football, buvaient une bière ou jouaient au bowling, elles, les femmes, pensaient à nous, se concentraient, étudiaient le problème, décidaient –de nous accepter, de nous rejeter, de nous échanger, de nous tuer ou, plus simplement, de nous quitter. En fin de compte, cela avait peu d’importance ; quel que soit leur choix, nous finissions dans la solitude et la folie. » Extrait de Women - 1978

Les petites nouveautés du boudoir pop :

- appareil de décharges électriques pour parties génitales

- une collection de bâillons

- gants d'immobilisation

- cagoules en vinyle (plus hygiénique que le cuir) pour l'isolation sensorielle. L'une te prive de la vue et de la parole, l'autre isole l'ouïe, les yeux, la bouche.

- De quoi te torturer les tétons en faisant le vide, pinces etc.

- Des cockrings

- Ecrase-couilles (au premier plan)

J'ai enfin reçu mes sangles de cuir, j'en dispose de huit de toutes tailles pour t'attacher dans différentes positions comme il me plaira. Tu vas travailler ta souplesse ! J'aime les resserrer un peu plus au fil de la séance. Lâcher-prise obligatoire sous mon pouvoir !

Maîtresse Gladys - Paris 11ème