Pour toi, soumis vulnérable, la punition est davantage affaire de honte et de sensation, que de douleur. Sauf si j’ai en face de moi un masochiste, mais ces derniers ne courent pas les rues.
Exigeante, je ne suis pas facile à satisfaire, j’attends de toi du service. Et si tu y déroges, je serre la visse. Quand tu t’y prends de travers, que tu n’as pas su me préparer du thé, masser ma voûte plantaire ou tout simplement que tu n’as pas été à la hauteur pour me distraire, je sévis.
Sans condition, j’utilise aussi la punition pour obtenir ton lâcher prise. Tout est question de juste disposition pour la recevoir. Debout penché vers l’avant ou à quatre-pattes sur les avant-bras avec une barre d’écartement entre les pieds, tu t’offres à moi entièrement. Offert, yeux bandés, tu restes attentif à toutes sensations. Tu écoutes le claquement de mes talons aiguille sur le parquet, le sifflement de ma badine, cravache, paddle et autre matériel un rien cruel. A vrai dire, j’aime tout avoir à portée de main et avant, je les teste pour évaluer la juste intensité.
Impossible pour toi de prévoir ce qui va tomber. Je caresse d’abord tes fesses avec mes paumes de main puis je joue du tam-tam clac ! clac ! clac ! je rosis la chair. Tu te contractes puis te détends. Je t’effleure, je recommence d’une main clac, clac ! Papouilles et châtiment. Sur l’autre fesse, te chatouillent les lourdes lanières du martinet. L’accessoire de cuir s’abat de tout son poids sur ton dos. Je t’envoie des coups qui te transportent comme pourrait le faire un massage très tonique. Mais une douleur cuisante vient de prendre le relais, ça ne rigole plus, voilà le fouet ! Aïe ! Tu n’as pas le choix. Tu t’abandonnes, balloté entre caresses et fermeté. C’est le différentiel qui engendre le plaisir. La chaleur envahit ton corps jusqu’aux extrémités.
Dans ton sillon inter fessier, je glisse le paddle sur la tranche, tu trésailles. Puis avec, je tapote ta peau à vif, mes mains échauffées ressentent l’énergie qui circule entre nous comme un courant bienveillant.
Je termine par un doux massage à mains nues. Allez ! Une dernière fessée pour la route ! Tu ne t’y attendais pas, tu gémis. Je m’approche de ton visage, te détache le masque de cuir. Aux anges, je constate ton regard perdu et humide, plein de résignation signe de l’acceptation de ta condition.
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Savoir que l’on va être châtier est un vrai suspens on veut que le chatîment arrive, mais on tremble, on a peur, et comme dans un film on pourrait fermer les yeux pour ne pas voir, mais on sent au plus profond de son être que cela nous remplit, nous apaise. Et ce moment si difficile à décrire du moment ou ses propres sensations sont totalement au main de la Maîtresse, le lâcher prise est une vérité de plénitude