Je le sais, tu l’attendais avec impatience : suite et fin de la mythique après-midi Pupute Party. Une séance pleine de rebondissements surtout côté fessiers. L’épisode précédent s’était terminé sur un insoutenable suspens : emportée par ses pulsions de dépravation, Pupute Olivia la trop goulue, a englouti son plug. Impossible pour elle de le récupérer ! Gros froid au milieu du très coloré Boudoir Pop. Les fessestivités vont-elles tourner court ? Voilà Maîtresse Lutcha, sa Sissy Kmille ainsi que Moi-même entre surprise et consternation. Pupute Olivia raconte la suite.
« Maitresse Lutcha pris les choses en mains, me calma.
-Met-toi à quatre-pattes. Plonge la tête en avant, lève tes fesses. Maintenant écarte ta chatte et pousse doucement.
On se connaissait à peine et déjà elle m’introduisait ses doigts pour repêcher l’objet de ma dépravation. L’incongruité de la scène m’électrisa. L’état d’humiliation dans lequel je me trouvais, les perspectives d’une punition à venir, me délivrèrent de toute inhibition.
Je me relâchais, je poussais, Lutcha harponna l’ustensile, un bref et cinglant ‘Ploc !’ signa son extraction. Quelques gifles bien méritées me remirent à ma place, mais cela ne dura pas.
Les Maitresses nous envoyèrent en cuisine. Quelques verres d’alcool et une petite collation nous remettraient de nos émotions. Coincées derrière le bar, nous affairant pour le plaisir de nos Maitresses, nous nous bousculions, nous frottions. Kmille n’était pas vraiment mon genre mais l’envie de la sucer me vint à l’esprit. J’espérais que cela serait au programme des Déesses. Pour finir, je vidais 3 ou 4 shots de vodka. J’aime l’ivresse mélangée à l’excitation. Ma chatte réclamait des intrusions, mon gland suintait de désir.
Maîtresse Gladys me félicita pour mes plats en jetant ostensiblement quelques miettes du dessert au pied de son tabouret. Je me jetais dessus naturellement, tout en lâcher-prise. Je me surpris moi-même à prendre autant de plaisir dans ce moment de passivité totale, de docile humiliation. Exprimant ma dévotion à Gladys, moi sa pupute, j’en ajoutais, en faisant briller ses escarpins à coups de langue. Je finis en prenant les fins talons aiguilles entre mes lèvres. La bouche en cœur j’aspirais sensuellement. Ma respiration s’accélérait, mon bassin oscillait au rythme des succions…
-Tu vas te calmer, petite excitée ! Au milieu du salon tout de suite. Tu montes ton derrière au plus haut et tu le tiens écarté !
Renonçant à toute volonté, je priais pour être emporté dans un maëlstrom de luxure. Maîtresse rentra trop facilement le petit gode ceinture qu’elle portait. On aurait dit ma bite ou celle de Kmille. Cela me faisait du bien mais ne m’emporterait certainement pas dans des contrées inconnues.
Kmille, à l’invitation de sa maitresse vint se placer, debout, face à moi. Je ne voyais rien mais entendis l’air siffler, un impact, puis Kmille réprimer un cri. Lutcha lâchait ses coups au rythme des intrusions anales de Gladys. J’en comptais une vingtaine. Les jolies fesses de Kmille devaient briller de reflets écarlates. Les coups suivants tombèrent sur mon dos, enflammant mon désir de douleur. Gladys attrapa mes hanches pour s’enfoncer au plus profond. Avec Lutcha, elles alternaient leurs coups. Vingt chacune.
C’est à cet instant que Gladys tira sur la laisse pour me relever la tête et que Lutcha, d’un subtil susurrement m’invita à m’occuper du sexe de Kmille.
Assise face à moi, les jambes ouvertes, Kmille me tendait son petit sexe. Je me suis fait bouche de velours, une bite bien raide serait le trophée offert à ma Maîtresse. Kmille bandait, son sexe palpitait sur ma langue, j’ai tellement aimé le sentir grossir. Je gobais ses couilles, je branlais sa nouille. Je ne m’étais jamais aussi sentie femelle, salope soumise. Orgasme ultime, je jouissais cérébralement.
On nous plaça en 69, Kmille au-dessus, afin qu’elle profite à son tour du gode-ceinture de sa Maîtresse. Je continuais à avaler son sexe tout en craignant et espérant, à la fois, qu’elle éjacule !
Sentant certainement nos jouissances venir, on nous sépara. On nous fit enfiler nos haut-talons pour un petit défilé. Je dû subir les quolibets des deux Merveilleuses. J’étais grotesque et les rires moqueurs me faisaient bander. Lutcha d’un gant de cuir giflait mon sexe pour qu’il rentre dans sa coquille, il n’en devenait que plus dur, tellement j’aime cette punition. Sans aucun répit, elles nous entrainèrent dans la chambre.
Mon bras droit attaché au gauche de Kmille, on nous fit basculer sur le lit. Des chaines remontaient de sous le sommier, nous nous sommes vite retrouvées ligotées.
Je ne sais plus laquelle tenait la cravache et l’autre le martinet, mais nous reçûmes quelques coups bien placés. J’avais envie d’être prise, des pinces sur les seins, les sens attisés par ces heures de douce folie, je balançais mes fesses, j’oscillais de bas en haut. Je demandais l’autorisation d’une suggestion.
-Maîtresse, je veux le gros gode. Celui qui n’est pas rentré la dernière fois.
Accordée, me dit-elle.
Je pleurais presque… d’extase. Pupute ou salope je ne savais plus ce que j’étais. Les Maîtresses me rassurèrent, j’étais les deux et très grosses. J’étais heureuse, rassérénée.
Maitresse Gladys revint après s’être équipée, elle était belle armée comme un étalon. Elle détacha les chaines et accrocha une barre rigide entre mes jambes. Elle l’attrapa des deux mains et me releva pour me plier en deux, ma petite queue suspendue au-dessus de la tête.
Je ne pouvais quitter des yeux ce pieu qui s’approchait de mon petit trou. Elle y posa délicatement le gland recouvert de gel, puis elle commença à appuyer.
-Détend toi, me dit doucement Lutcha.
Le gland venait de passer, le reste suivait. Je n’avais jamais autant poussé la soumission que durant cette magnifique après-midi, je voulais la marquer, je suppliais pour une main, je voulais gouter au plaisir inconnu.
Gladys laissa sa place à Lutcha, qu’elle désigna comme la grande prêtresse du fist.
Kmille s’installa en tailleur pour observer, Gladys maintenait la barre en l’air, Lutcha, une main en appui sur ma cuisse, commençait à faire tourner deux doigts dans mon fondement, je perdis la tête au quatrième. J’accompagnais sa poussée de déhanchements frénétiques, une énorme fessée calma mes ardeurs.
-Mais quelle véritable salope. Tu vas te calmer tout de suite, je vais mettre le pouce maintenant.
-Kmille tu prends le gel, tu en mets sur ses lèvres et sur ma main.
Elle tournait, pistonnait, vrillait mais cela n’avançait plus aussi vite.
Je pleurais de béatitude. Bonheur absolu que d’être la marionnette de ces deux femmes. Entre râle et gémissement, Je disais tout le plaisir du vice, le plaisir d’être une véritable salope et l’envie de sentir cette main s’ouvrir en moi.
Une forte douleur me figea sur le bras de Maîtresse Lutcha. Je m’agrippais aux draps et reculais tout doucement. Je reprenais ma respiration et avançais à nouveau mon bassin quand je sentis la main se retirer inexorablement.
-Ce n’est pas toi qui décides Olivia. Tu es une belle trainée mais tu devras attendre un peu pour devenir la reine des salopes. C’est encore trop tôt, tu n’es pas prête.
Kmille me félicita.
-Impressionnant, c’est beau ce que tu as pris, presque tout, il ne manquait pas grand-chose !
Je regardais son sexe qui dégoulinait, je me retins d’aller la nettoyer.
Une claque sur les fesses me sortit de ma torpeur. Gladys reprenait la direction.
-Branle toi maintenant, tu te finis et tu avales ton sperme !
Du bout des ongles elle jouait avec mes tétons. Elle commença à les pincer puis augmenta graduellement la pression. Je n’en pouvais plus, je n’étais que jouissance. Je donnais deux grosses gifles à ma bite et la pris en main pour l’astiquer jusqu’à délivrance. La première lampée de sperme m’avait un peu dégoutée et maintenant je passais ma langue entre mes doigts pour ne rien perdre. Les instants qui suivirent vont se parer d’un voile de pudeur. Ils relèvent d’une autre intimité qui ne se raconte pas. »
Maîtresse Lutcha m’a suggéré de lire ce récit en trois services. Cette suggestion sonne pour moi comme un ordre et je n’ai pas tardé à prendre le temps, par cette belle journée ensoleillée, de me projeter dans cette ‘Pupute Party ».
Quel beau récit ! Je ne sais encore si j’en serai capable mais comme c’est émoustillant et drôle tout à la fois.
Je ne suis qu’un novice à peine sorti de sa coquille mais en lisant ces mots, je vois parfaitement ma belle et divine Maitresse et je vous imagine, tout autant, prenant plaisir à ces moments de délectations, de sourires, de surprises et surtout de belle dévotion de Kmille et Olivia.
Je vous souhaite une très belle journée, Madame.