La belle saison connait sa floppée de lopes en tout style. Leurs croupions éclosent tels les bourgeons. Dans mon cheptel de Puputes, Vanessa, la fétichiste des collants, est sans conteste la plus dissipée du paddock. Au début, je ne pensais pas en tirer grand-chose. Mais Maîtresse Gladys n’en est pas à sa première trainée à dresser. J’ai bien compris que pour faire rentrer la récalcitrante dans les clous, je ne devais pas la ménager. Alors les punitions sont tombées comme les gouttes de pluie sur Paris. Et là, alléluia ! Un miracle s’est produit : Vanessa mon apprentie tapineuse, a fini par donner d’elle-même le meilleur : son postérieur. Voici son compte-rendu.
« Maitresse Gladys m’a accueilli très froidement ce jour-là. On peut la comprendre, je n’avais pas pu venir lors de notre dernier rendez-vous, je lui avais posé un lapin très tardivement. Résultat, elle était furieuse.
Lorsqu’elle m’a ouvert la porte, Maîtresse Gladys portait une tenue de policière, avec un bustier de cuir et des collants clairs sur ses jambes fuselles. Elle m’a demandé sans ménagement de me mettre nu rapidement, plus rapidement bon sang ! Puis elle m’a sermonné sévèrement. J’ai baissé les yeux comme un enfant fautif. Quand elle a craché sur mon visage, j’ai compris que la séance avait commencée.
Attaché par les poignets, barre d’écartement aux pieds, me voilà fouetté. Au départ, c’était plutôt comme des caresses mais elle a rapidement pris des martinets de cuir et la douleur a été plus cuisante. Au bout d’un moment, la douleur fait place à la chaleur, on s’engourdit, on commence à perdre le contrôle, on en redemande.
Elle m’a détaché les poignets et je me suis mis à genoux les mains posées au sol. La barre écartait toujours mes pieds laissant ma nudité complètement exposée à son regard. L’humiliation commençait. Elle a mis du lubrifiant sur sa main et a commencé à malmener mon anus. Rapidement elle y a inséré un godemichet puis à enfilé son gode-ceinture pour mieux m’enfiler ! c’était délicieux, elle m’enculait, m’insultait, l’assaut a duré plusieurs minutes pendants lesquelles elle me giflait, ma tête légèrement tournée vers elle.
Ensuite pour mieux m’humilier et punir ma défaillance, elle a joué avec moi, les mains dans le dos je devais manger une pomme qu’elle faisait rouler devant moi. Elle m’a fait lécher ses collants et ses pieds. J’adore le contact de ma langue sur ses collants, c’est soyeux, je remontais sur ses mollets et embrassait ses pieds. Elle n’a pas cillé et m’a fait redescendre, le dos ployant sous mon poids.
Elle n’en avait pas fini avec moi et mon derrière, mais cette fois elle voulait me voir quand elle me baisait. J’ai du enfiler un collant, me suis mis sur le dos, les mains toujours arrachées dans le dos et je lui ai offert ma croupe de salope. Elle a découpé un bout de collant pour y glisser son sexe artificiel. Elle me saisissait les hanches pour mieux s’enfoncer en moi, parfois elle lâchait une main qu’elle posait sur ma gorge sans serrer ou qu’elle utilisait pour chauffer mes joues d’une belle gifle. J’étais là physiquement mais mon esprit voyageait depuis longtemps déjà.
L’apothéose : je me suis masturbé devant elle, les yeux mi-clos. Mon sexe a mis du temps à durcir et grossir. Elle s’est retirée de mon cul. J’ai quémandé de pouvoir me faire pipi dessus, mais elle me l’a refusé. Ça se mérite !
La jouissance est venue progressivement, doucement mais elle m’a terrassé. J’étais pris de convulsions. De spasmes. Je sentais les gouttes de sperme inonder mon pubis, mon torse et jusque mes seins. Alors qu’habituellement la séance se terminait par une bonne douche chaude cette fois-là elle m’a fait me rhabiller, comme ça sans caleçon, le collant troué et déchiré, mon corps taché de ma semence, la queue pendante entre les jambes. Sa salive sur mon visage. Et c’est ainsi, sans avoir droit de prendre une douche, ni même de me débarbouiller, que je suis sorti sans dire un mot ou presque. Merci Maitresse. Et je suis rentré chez moi. »
Oh quelle belle séance
Il y des idées à creuser 😁