Voilà encore un jeune blanc-bec venu se frotter à la rudesse de mes punitions. De nettoyage de mes talons, il fût question. Le freluquet se retrouva obligé de manier sa petite langue avec cœur et dévouement. Mais le plus divertissant, est sans conteste ma décision de l’avoir affublé d’une cagoule. Derrière le vinyle, disparaît alors ce qui fait la signature, l’identité de chacun : le visage. L’éphèbe s’est alors transformé en chose, ma Chose. Un ustensile plus ou moins utile, dont je peux user et abuser à ma guise… Voici son compte-rendu de séance:
« Cela fait 20 minutes que je me dirige vers chez maîtresse Gladys (tout en étant pluggé sur le chemin comme elle me l’a exigé) … Je vous laisse imaginer le contenu de la future séance. Une première pour moi, c’est stressant et désagréable de faire cela en public mais l’excitation monte (comme maîtresse Gladys me l’a dit, c’est comme si elle était déjà avec moi).
Arrivé, ni une ni deux je suis nu à ses pieds. Talons et bas sont de la partie pour nous échauffer. Bien sûr, maîtresse Gladys commence par vérifier si mon petit fessier bien galbé contient son plug, puis elle s’amuse vigoureusement avec. C’est la première fois que je rencontre maîtresse Gladys, et je comprends vite que je ne suis que là que pour lui permettre de passer du bon temps en ce début d’après-midi. Elle me vêtit de ma cagoule en vinyle rouge et je n’ai plus qu’une fonction : être sa chose. Comme bonne créature, je me tue à la tâche pour nettoyer du mieux possible ses beaux talons. »
Arrive le moment où elle en vient aux pieds nus … En tant que chose, je suis ravi de pouvoir sentir ses pieds passés à travers les trous de ma cagoule et que seule ma bouche, ma langue et ma virilité puissent les ressentir.
Finalement le plat de résistance arrive, Maîtresse Gladys a bien dressé sa chose avec ses pieds, maintenant elle ne veut plus qu’une bonne chienne. Je suis pris par l’arrière par une Déesse à cet instant… Maîtresse est bonne car elle me permet aussi de satisfaire ma bouche par un délicieux gode. Je vous laisse imaginer la scène, combler de part et autre. Cependant l’apothéose n’arrive que quand cette déesse se retourne pour continuer à soumettre mon derrière tout en enfonçant son pied dans ma bouche. Je me sens alors toute chose… Telle est ma fonction.
Jolie récit.Court mes intense
Humbles respects Maitresse Gladys