Petite salope deviendra grande. C’est en tout cas l’ambition d’Olivier que j’ai rebaptisé Olivia. Mais dans ce bas monde, rien ne s’acquiert sans travail, sans investissement personnel, et ma nouvelle chienne a encore du chemin à faire, même si elle présente un talent indéniable de pute. Suite à notre première séance, je lui ai alors ordonné de se livrer à l’exercice du compte-rendu. C’est une façon de plus pour elle, d’assumer sa chaudasserie publiquement. Car il ne faut jamais sous-estimer le pouvoir des mots, surtout quand il s’agit de relater des maux. Voici son texte.
« Après un an de purgatoire, mes sens s’éveillaient à nouveau. Mon corps bouillonnait d’envies. Je fouillais le net à la recherche de la maitresse qui attiserait le feu qui couvait et apaiserait les tourments du manque. Je cherchais LA maitresse, celle qui saurait, de la petite salope, faire sienne.
Le voyage en soumission débuta quand je tombais sur le site de maitresse Gladys. Je ne sais, de sa silhouette ou de l’atmosphère des pages, ce qui retint mon attention. Je me sentis bien à imaginer devenir sa chose. Chaque photo de la galerie invitait mon imagination à s’envoler, ma petite bite commençait à s’enorgueillir, je lui jetais un regard attendri plein de promesses.
Ma toison que j’avais laissé reprendre le pouvoir me parut tout à coup inutile et incongrue. Après quelques coups de tondeuses pour dégrossir, j’optais pour une taille ticket de métro. Je voulais me sentir salope pas Lolita. Redevenu légitime, je pouvais enfin envoyer un message à maitresse Gladys.
C’est à ce moment que débute la séance. L’attente d’une réponse. Les échanges qui suivent sa réception, puis le rendez-vous téléphonique. Les premiers mots, sa voix, maitresse Gladys est directe. Elle ne surjoue pas, la domination lui est naturelle. Nu sur mon lit, un plug planté dans le séant, je réponds à la déesse. Je caresse la ligne de poils qui prolonge comme elle peut mon petit sexe. J’écoute les instructions de maitresse. Elle entrouvre les portes de son univers, sa voix, son esprit joueur, m’incitent à la suivre.
J’aurais aimé la voir dans l’instant mais il faudra patienter avant de nous rencontrer. La tension qui monta durant l’attente fut à la fois supplice et délice. Prémices aux joutes promises.
Plus que deux heures avant de m’abandonner aux désirs de la domina. Nu et à quatre pattes dans ma salle d’eau, je plante la poire à lavement dans ma chatte. Elle sera propre si la maitresse désire jouer avec. Douché, rasé, parfumé, je pars pour une après-midi de plaisir.
Appréhension et excitation se mêlent. Je viens de prévenir la maitresse de mon arrivée. Je ne suis plus qu’à quelques étages du lâcher prise. Je prends mon temps dans l’escalier pour éviter à mon cœur de s’emporter encore plus. Une porte s’ouvrit quand j’atteignis le quatrième étage. Je découvrais celle qui depuis quelques jours emballait mon imagination. Elle est belle et semble déjà s’amuser de la situation. Je rentre, la salue et me retrouve, à sa demande, rapidement nu.
Directive et sensuelle, madame Gladys prenait la mesure de la petite pute. Elle l’appela Olivia et félicita cette cochonne pour la rondeur et la douceur de son fessier auquel elle promit quelques rougeurs et chaleurs. En revanche madame ne trouva aucun intérêt au clitoris de la chienne. Je dû mettre un string pour le soustraire à ses yeux. Petite humiliation qui m’excita autant que la ficelle du string coincée dans ma raie.
Maitresse m’affubla d’une perruque blond doré. Dans le miroir qu’elle me tendit, je ne vis pas une belle femme, mais une pute plutôt moche qui devrait être bien heureuse de trouver une si belle femme pour s’occuper d’elle. Tout en douceur et en quelques minutes Maitresse Gladys m’avait réduit au rôle de femelle soumise.
J’étais mûre, prête à cueillir. Les fessées commencèrent à tomber puis le martinet pris le relais. Poupée de chiffon dans les bras de maitresse, je souhaitais qu’elle fasse de moi ce qu’elle voulait. C’est si bon d’être une bonne salope, une bonne chienne soumise. J’ai terriblement aimé cette après-midi d’obéissance totale.
Un plug dans ma petite chatte, à quatre pattes, je marchais au pas de la maitresse. J’ai subi sans utiliser le safe word. Elle sait qu’elle pourra aller plus loin la prochaine fois. J’ai envie de la revoir, qu’elle fasse de moi une vraie petite pute. Depuis je me vois vêtue d’une jupe courte ou d’une robe de salope pour répondre aux désirs les plus profonds de Gladys. Je sais que bientôt je retournerai la voir, mon corps le réclame. Il veut connaître ses limites pour les dépasser et Gladys est LA maitresse faite pour cela. »
votre art de vous delecter de vos petites choses pour les amener à se dépasser….