Voici un concentré de la pensée Gladysienne. Mes bons maux et autocitations, je les ai distillés au départ dans ma newsletter. Donc si tu veux la primeur de mes préceptes spirituels emprunts de philosophie, abonne-toi (en bas de page ou si tu es sur ordi en haut à droite).
« Tu es la matière première de mes caprices, de mon art. »
« Le pouvoir est une responsabilité, et non un privilège. »
« En séance, j’aime ton air perdu, tes hésitations. Le doute est bien plus fécond que les certitudes. »
« Le détachement est pour moi, une hygiène mentale. »
« Tout est transitoire et éphémère, même ta prostate. Alors profites-en ! »
« Trop souvent tu penses détenir une vérité alors que ce n’est juste qu’une opinion. Moralité : ferme-là. Et tout se passera au mieux. »
« Je viens de recevoir le prix Nobel pour mes recherches sur la tectoNique des claques. »
« Une séance chez Gladys, c’est un voyage au fond de soi-même. »
« Le BDSM, c’est comme le porno ou la religion, ça doit rester interdit au moins de 18 ans. »
Allez ! Encore un peu de Philosophie dans le Boudoir Pop :
« La soumission, c’est acquérir la capacité d’échanger sa vulnérabilité contre de la sérénité. »
« Le bonheur est dans le fouet. »
« Je te persécute ? Non je te mère sécute ! »
« Devenir soumis, c’est s’arroger le droit d’être une nullité notoire en marge d’un monde régi par la performance. »
« Une séance, ce n’est pas un divertissement. J’exige de toi que tu sois concerné. En un et en deux mots. »
« Rien de tel pour faire oublier une douleur que d’en provoquer une autre ailleurs. »
En cadeau Bonux, voici des citations issues d’autres auteurs, des esprits moins brillants que le Mien, mais cependant pertinents :
« La virilité est à la fois un privilège et un piège. » Pierre Bourdieu, sociologue
: « Les Femmes : j’aimais les couleurs de leurs vêtements ; leur démarche ; la cruauté de certains visages ; de temps en temps, la beauté presque parfaite d’un autre visage, totalement et superbement féminin. Elles possédaient un avantage sur nous : elles planifiaient beaucoup mieux leur vie, elles étaient mieux organisées. Pendant que les hommes regardaient les matchs de football, buvaient une bière ou jouaient au bowling, elles, les femmes, pensaient à nous, se concentraient, étudiaient le problème, décidaient –de nous accepter, de nous rejeter, de nous échanger, de nous tuer ou, plus simplement, de nous quitter. En fin de compte, cela avait peu d’importance ; quel que soit leur choix, nous finissions dans la solitude et la folie. » Il s’agit de la magnifique prose alcoolisée du grand Charles Bukowski, extrait de Women – 1978
« Pour un plaisir, mille douleurs ». Citation du poète François Villon dit « Le chantre des âmes damnées ». Il aurait pu écrire ça en sortant de chez moi. Encore eut-il phallus que je vive au Moyen-Âge… ça ne m’aurait pas déplu en Dame de cour spécialiste du supplice de la roue. C’était quand même plus classe qu’une Croix de St-André dénichée sur Le Bon Coin. A l’époque, on savait vivre !
y a t’il quelque chose a rajouter…non se taire. Et voila que je le dit « ferme la » entends je de Maitresse Gladys
toujours de bon mots chez Maitresse Gladys
Super bien
Je désire vraiment ça
Mais je n’arrive pas à franchir le pas