
Bien qu’encore jeune, Pupute Lucie n’en est pas à ses premiers travestissement. Elle a pris contact avec moi en m’expliquant qu’elle porte je cite, “régulièrement une cage depuis deux ans, ce qui me permet d’explorer d’autres aspects de ma sexualité et de comprendre que mon plaisir est avant tout celui de l’autre.” Aussi, je l’ai prise aux mots, et pas que. J’ai convoqué l’impétrante pour une longue séance d’entrée. Le jour J, j’ai vu alors se présenter une soumise bien mise de sa personne, avec déjà une éducation certaine, polie, joviale et souriante, cette dernière qualité étant hélas trop rare chez les Puputes (pourtant les Maîtresses apprécient fort cette capacité ornementale).
Seulement voilà, la puTification ne s’arrête pas aux atours et aux postures. Sissy Lucie allait-elle être à la hauteur du dévergondage exigé ? Pour le vérifier, je ne l’ai pas épargnée, notamment quand je lui ai ôté sa cage de chasteté. Son témoignage :
“Après quelques échanges par email et un entretien téléphonique de préparation, le jour de la rencontre était enfin arrivé pour la sissy que je suis.
À la demande de Maitresse Gladys lors de notre conversation téléphonique, je suis en cage de chasteté, cela fait maintenant 10 jours et je suis plus excitée que jamais d’enfin pouvoir la rencontrer.
Le rendez vous était prévu pour 14h30, j’arrive 10 minutes en avance car j’estime qu’être à l’heure est une marque de respect indispensable. Mais voilà sans doute plus stressée que ce que je pensais je me trompe d’immeuble et perd très vite mes 10 minutes d’avance. Après échanges téléphoniques je finis par trouver le bon endroit, il est tout juste 14h30 !
Je découvre enfin Maitresse Gladys dans son appartement transformé en temple de la suprématie féminine. Elle est superbe, autoritaire et sachant me mettre tout de suite à l’aise.
Selon ses instructions, je me déshabille et elle peut ainsi decouvrir la lingerie que j’ai choisi de porter sous mes vêtements, mon clito en cage et le plug qu’elle m’avait demandé de porter avant d’arriver.
Après une inspection de Maîtresse Gladys, elle me demande d’enfiler les vêtements que j’ai apporté. Ma tenue de sissy : haut blanc avec quelques details en dentelle, mini jupe en simili et un paire de talons avec plateforme ( très certainement bien trop ambitieuse sur ce point ).
Maîtresse Gladys apprécie la tenue et décide d’y ajouter un tablier, une perruque blonde, un peu de fard à paupières et du rouge à lèvres.
Me voila transformée en parfaite petite soubrette et Maîtresse Gladys prend plaisir à me faire découvrir la réalité de mon statut dans le miroir.
Maîtresse Gladys a prévu d’évaluer mes capacités de service de sissy, préparation et service du thé, poussières au plumeau… Bien évidement Maitresse Gladys commence à me faire chauffer les fesses et à tester ma resistance.
En apothéose de ce service, la vénération de ses superbes talons vernies puis un massage de ses divins pieds parfaitement manucurés et couverts de bas nylons. Un plaisir totale d’être à ses pieds, j’en ai déjà perdu la notion du temps.
Maîtresse Gladys décide alors de me passer un collier et une laisse pour me conduire dans la pièce d’à côté. Me voilà attachée à la croix, face au mur, yeux bandés et mes fesses à disposition pour être chauffées bien comme il faut. Après quelques minutes d’hésitation je comprend que j’en oublie l’essentiel, la reconnaissance, et commence enfin à remercier ma Maitresse après chaque impact sur mes fesses. Maîtresse Gladys semble prendre plaisir avec differents outils et avec ses mains, le rougissement de mes fesses lui plaît.
Elle décide alors de me retourner pour m’attacher dos à la croix, cela lui permet d’accéder à mes tétons de sissy, elle m’a retirer le bandeau des yeux, je peux donc croiser son regard déterminé et distinguer le plaisir qu’Elle prend à s’occuper de mon éducation.
Elle décide alors de retirer ma cage de chasteté, je l’en remercie mais avec un grand sourire elle me rétorque que ce n’est pas forcément une bonne nouvelle.
Elle attrape alors diverses pinces à linge et un dispositif en cuir permettant de lester mon clito et mes boules. Elle attache de nombreuses pinces de différentes couleurs, me fouette le clito et continue de tordre mes tétons par intermittence. Quel plaisir d’être à sa merci et de pouvoir lui offrir ma souffrance et mes douleurs.
La création sur mon clito semble lui plaire, elle décide d’en prendre une photo en souvenir.
Maitresse Gladys, prend son temps pour retirer les pinces et fini par me détacher. Elle a envie de posséder ma chatte anal. Elle retire mon plug, celui-ci à une matière et une forme qui l’intrigue, trop souple à son goût et trop confortable pour une pute comme moi. Elle commence par me prendre sur le bord du lit, debout les mains sur me lit, mon cul de salope l’accueil sans rechigner, elle décide donc de passer à la taille superieur.
Me voilà à quatre-pattes sur le lit subissant les assauts de Maîtresse Gladys. Elle décide alors de tester les capacités de suceuse de sa sissy et je lui démontre mon enthousiasme. Elle reprend alors ses assauts pendant que je continue de sucer avec envie le dildo qu’elle vient de me confier. Quel plaisir d’être sa chienne, sa pute, de mettre à disposition tous mes orifices pour son plaisir.
Maitresse Gladys décide alors de m’attacher sur me dos, les bras attachés de part et d’autre du lit, les jambes en l’air enchaîné à ce lit qui est une véritable oeuvre d’art. Ma chatte anale à disposition, Maitresse Gladys reprend ses assauts et me baise comme la pute que je suis, ma chatte mouille, les orgasmes anaux s’enchainent, un plaisir divin, merci à Maitresse Gladys.
Ayant perdu toute notion du temps, Maîtresse Gladys a su faire de moi sa chose, sa chienne, sa sissy, sa pute. Une expérience unique que je ne manquerai pas de renouveler si Maîtresse Gladys accepte de poursuivre mon éducation.”
Et pour découvrir la photo de ma création sur les bijoux de famille de la coquette Lucie, il faut être abonné à ma newsletter gratuite. Je te permettrais alors d’y accéder lors de mon prochain mail.
La gravure de Une date des années 30, et est issue du livre d’art Féminisé de la collectionneuse Nicole Canet. Comme quoi, la pratique ne date pas d’aujourd’hui !