
Tu avais peut-être suivi l’éclosion de cette authentique salope propriété de ma Personne. Un jour, je vis débarquer un garçon plutôt gauche qu’il a bien phallus façonner. Par la magie des séances, mon sujet-objet se transforma en Juliette, une authentique soumise-chienne avaleuse de chibres. Où en est-elle de son apprentissage ? Et bien, la demoiselle continue d’embrasser son destin de putain sadienne. Juliette a été obligée de travailler à nouveau sa technique sur un poireau bio. Pour la difficulté, j’avais ajouté mon appendice de silicone, autant dire que ses maxillaires n’ont pas chaumé. Mais avant, Juliette a dû endurer une séance particulièrement cuisante, m’offrant en présent son masochisme plein d’avenir. Voici les comptes-rendus des deux dernières séances :
« La période de vacances est propice aux devoirs de vacances, et afin de bien se préparer à la prochaine dégustation de chibre (dans le but d’améliorer mes performances testées lors de mon baptême), quoi de mieux qu’une table de godes ?
Me voici donc en string bleu, simplement vêtue en pute légère, à genoux devant la table des godes, prête à écouter les leçons de Gladys pour faire jouer au mieux ma langue et mes doigts sur ses chibres alignés, de différentes tailles, pour exercer mes lèvres à la meilleure des succions.
L’exercice réalisé avec application et envie de bien faire, Gladys décidé d’arrêter l’exercice pour m’emmener sur le lit, attachée sur le ventre, la barre d’écartement aux pieds, les yeux bandés, prête à donner du plaisir à ma Maîtresse pour son plus grand sadisme.
Tout s’enchaîna alors pour son plus grand plaisir, soufflant le chaud (le très chaud) et le froid (le très froid) sur mon dos et mes fesses, pour un festival olympique d’épreuves alternant la badine, les mains vicieuses, le martinet, les glaçons, les bougies,… Une véritable course à la souffrance pour moi, et à la jouissance sadique pour Gladys.

J’ai ainsi dépassé mes limites pour son plus grand plaisir, frôlant parfois le code orange, mais sans jamais m’y résoudre, pour aller toujours plus loin dans la dépravation, l’abandon de soi, et le plaisir des yeux d’une Maîtresse à satisfaire.
J’ai poursuivi en dégustant à genoux face à Gladys, son gode ceinture pour parfaire mon éducation, tout en touchant ma petite bite, et je finis par éjaculer sur moi, telle une petite trainée des grands boulevards.
Gladys trempa alors le gode dans mon sperme, puis me fit sucer et boire ma semence sur le gode, pour son plus grand plaisir, ma plus grande dépravation, et ma meilleure soumission.
Me voici bien entrainée, telle une athlète olympique, pour la prochaine épreuve de suçage de chibres, où je compte bien glaner la médaille d’or ! »
« Après une première dégustation de poireau bio, je me devais de poursuivre l’aventure afin de parfaire ma technique pour le bon plaisir de Maitresse Gladys.
Rendez-vous fût donc pris en ce pluvieux samedi après-midi, quoi de mieux que de retrouver le boudoir pop préféré, pour un moment de soumission.
Vêtue comme à mon habitude comme une catin du bois, string rouge, jupe ras les bonbons, petit haut sexy, me voici prêt pour la séance numéro 2 : « Améliorer sa technique ».
Gladys me rappela ainsi, son ouvrage à la main, les techniques à mettre en place pour m’acharner avec fougue sur le chibre bien réel qui m’était présenté aujourd’hui, le même que lors de ma première découverte, j’étais donc en terrain connu pour me perfectionner.
Alternant les coups de langue, le léchage du chibre sur sa longueur, le léchage des boules, les gorges profondes (ma petite bouche était bien vite remplie), je m’efforçais de m’appliquer, sous les encouragements mais aussi les critiques méritées de Gladys lorsque l’application n’y était pas.
Et bien entendu, les claques sur les fesses, le martinet, les zébrures sur mes fesses agrémentaient tout cela ponctuellement, alternant les positions, les soumissions (sucer un chibre les mains liées derrière le dos, quelle décadence).
Je terminais en jouissant, sans plaisir aucun évidemment, Gladys trempa son gode ceinture dans mon foutre, me le porta à la bouche, et je dégustai ainsi ma propre semence, comme une vraie catin confirmée.
Le goûter était pris, je pouvais repartir la queue entre les jambes, à la douche, comme un écolier ayant fait ses devoirs avec sérieux et application ! »
Un immense merci pour ce joli récit. Très palpitant très excitant. Mon excitation s’en ressent……Mais abstinence Respects Maitresse