Jean-Pierre : « La séance se terminera par un « passage à la casserole » merveilleux. »

Durant mes études j’avais rencontré une camarade dont le regard me perçait au plus profond chaque fois que je devais lui parler. Cela n’avait jamais été au-delà de quelques échanges verbaux, mais j’ai depuis eu au plus profond de moi ce désir d’être sous l’emprise d’une telle femme. J’ai souvent consulté les sites de dominatrices, mais en y trouvant plus de violence que de réelle domination. Et par hasard, miracle, voici Maîtresse Gladys qui apparaît. Je suis immédiatement subjugué par cette silhouette d’une grande beauté. Ensuite je me sens en total adhésion avec son approche cherchant à marquer plus les esprits que les corps.

Je tente donc ma chance sans trop y croire. Et soudain, joie et frayeur mélangées, je reçois une réponse que me semble plutôt favorable. Première épreuve, un entretien téléphonique. Mon coeur bat à 1000 à l’heure au moment où Maîtresse décroche. Sa voie est ferme mais douce, ses questions simples et précises me poussent à m’ouvrir totalement à elle.

Le jour convenu je me rends chez Maîtresse Gladys en arrivant 2 heures à l’avance. Je me promène dans le quartier pour évacuer le stress que je ressens au plus profond de moi. Quelques minutes avant l’heure fixée, Maîtresse me propose de la rejoindre et je m’exécute immédiatement. La suite n’est qu’un long rêve éveillé.

Je découvre Maîtresse exactement comme sur ses photos. Elle me met immédiatement à l’aise le novice que je suis par des instructions fermes et précises qu’il est facile de suivre. Au-delà de la fermeté sa voix est douce et bienveillante. Le temps étant frais, Maîtresse me propose de réchauffer mes fesses. Elle s’y active avec un art sublime, qui comme une cuisinière expérimentée, alterne chauffes et pauses pour garder le plat à la température idéale. Ensuite elle introduit un plug dans cette voie qui n’avait jusqu’alors connue dans ce sens de circulation que quelques suppositoires et thermomètres. Ces formalités accomplies, Maîtresse me demande de me mettre à genoux devant elle pour lui masser les jambes et ses si jolis pieds. Mes mains n’étant pas à la hauteur de ses attentes, elles les attachent pour ne plus s’embarrasser de ces extensions inutiles.

L’expérience de ces liens renforce le sentiment d’être à sa totale merci et ce sentiment est délicieux. Maintenant ma langue doit remplacer ces mauvaises mains et il me semble que Maîtresse apprécie maintenant les services de son inexpérimenté serviteur. Je sens son visage proche mais je n’ose pas la regarder. Elle est si près que je pourrais l’embrasser mais je réprime cette idée inconvenante.

Pendant ce temps Maîtresse s’amuse avec d’autres parties de mon corps et toute perte de concentration de ma part sur ma tâche est immédiatement et fermement sanctionnée. Lors de l’entretien, Maîtresse m’avait demandé si j’étais sensible de tétons. Je ne savais pas. Alors elle y accroche des pinces et des poids. Au début la sensation est faible. Prenant un peu trop confiance en moi, j’ose dire « encore ». Maîtresse augmente donc jusqu’à ce que la douleur apparaisse, mais douleur source d’un immense plaisir.

La séance se terminera par un « passage à la casserole » merveilleux. A quatre pattes, puis attaché sur le dos. Maîtresse est experte dans cet art. J’aide ses mouvements pour la sentir au plus profond de mes reins. 

La séance est finie. Tout a été trop court. Mais Maîtresse dans sa grande bonté m’évoque d’autres pratiques. J’espère qu’elle acceptera de former son dévoué serviteur dans une prochaine séance dont je rêve déjà.

Cette publication a un commentaire

  1. jouet bertrand

    ah qu’il est doux et agréable de lire les récits des premières fois….et comme il est doux et agréable de se souvenir de sa première fois, et qu’il est doux et agréable de voir la grandeur d’âme de ces Maîtresses tant à l’écoute

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