JérômeL : « vous me baisiez comme une impératrice romaine baise ses esclaves avant leur combat à mort pour les jeux du cirque »

Maitresse Gladys sodomie soumis

Bien que débutant, JérômeL voulait se sentir femelle. J’avais alors prévu d’y aller crescendo. Ce fût inutile, côté face, côté fesses disons plutôt, le soumis était déjà bien ouvert. J’aurais pu l’assoir sur un Flamby, le dessert lacté n’aurait pas bougé. Du coup, l’entrée en matière s’est faite sans manière. Ce qui me valut quelques courbatures au niveau des reins le lendemain. Endosser le rôle viril n’est pas de tout repos. Quelques jours plus tard, JérômeL m’envoyait ce mail afin de graver ce souvenir dans les annales.

 

« Chère Maîtresse Gladys,

Je vous remercie profondément pour la séance que vous m’avez accordée la semaine dernière. J’ai vraiment beaucoup apprécié votre perversité, je dirais que je l’ai même contemplé quand elle se manifestait sur votre visage déjà si séduisant qu’elle magnifiait alors que vous étiez toute absorbée à me dépraver. C’est vrai, je dois vous l’avouer, j’ai bien joui de voir se dessiner de plaisir votre sourire si tendrement cruel sur votre figure qui avait alors quelque chose de divin et ou de diabolique. A ce moment-là, j’ai vraiment beaucoup aimé vous embrasser les pieds et quel délice vous m’avez donné en me permettant de remonter sur vos si jolis et si tendres mollets jusqu’à vos cuisses et en m’intimant de poser mes baisers uniquement sur le long de la couture de vos bas ce qui me contraignait alors que j’étais à genoux devant vous assise sur votre trône, à me tordre pour vous satisfaire. Oh, comme j’ai aimé vous vénérer, comme il était bon de sentir votre excellence dans cette position. Je m’en délecte rien que de m’en rappeler…

Puis vous m’avez utilisé comme cobaye pour tester votre nouvelle installation en m’immobilisant le torse sur votre mur sous le portrait de femmes puissantes au moyen de chaines fixées au mur par de cruels crochets. J’étais nu, offert, cambré, les jambes tendues par le port de talons aiguilles que suivant votre délicieuse perversité vous m’aviez demandé de chausser, et plein de désir de bonne petite salope. En bonne chienne, j’espère que mon petit cul offert vous donnait envie… Et vous avez commencé à me baiser dans cette position si chaude, d’abord doucement avec précaution, puis voyant que j’étais une vraie catin qui aime se faire tringler, vous y êtes allée beaucoup plus sauvagement ! Et j’ai beaucoup aimé… vraiment… énormément ! Comme c’était BON de se faire enculer par une si belle Maîtresse.

Après m’avoir détaché, je vous ai suivi toujours en talons aiguilles jusqu’au lit pour que vous me baisiez comme une impératrice romaine baise ses esclaves avant leur combat à mort pour les jeux du cirque. J’ai alors vu comme vous portiez si bien le gode. Vous êtes vraiment merveilleuse avec cette belle queue. A vous contempler ainsi, on n’a qu’une envie : se mettre à vos pieds et vous sucer et vous sucer et vous sucer… Vous m’avez installé sur le lit en position de levrette et vous m’avez baisé, enculé magnifiquement ; grâce aux miroirs que vous aviez disposés de la manière la plus vicieuse, il m’était impossible de ne pas vous voir me dominer aussi abruptement. Et alors que je sentais en moi comment vous me possédiez de toute votre verge, que vous me pilonniez de vos vigoureux coups de reins, je vous admirais en train de me dominer sans ménagement de toute votre hauteur, en toute majesté, dans des déhanchements si sensuels. Quel spectacle sublime ! j’ai adoré ! vous m’avez fait mouillé comme une bonne femelle en chaleur… Puis vous avez eu envie de prendre un plus gros gode pour mieux me remplir. Comme vous m’aviez épuisée, vous m’avez laissé m’occuper de vos adorables petons. Inutile de dire que j’ai savouré ce moment, vous les embrasser, vous les lécher et bien sûr vous les masser, hmmm… ce fut un moment de la séance bien cérébral puisque vous aviez pris le soin d’être en position pour me regarder pendant tout ce moment où j’étais à soigner vos pieds ; j’ai beaucoup aimé que vous exprimiez le plaisir que vous procuraient ma langue et mes doigts appliqués que vous jouissiez en authentique dominatrice de me voir, moi, petit mâle réduit, à consacrer toute ma virilité à vos si adorables pieds de Maîtresse.

Puis, vous m’avez finie en beauté. Avec votre grosse queue. Et vous y êtes allée de plus belle, avec énergie et sensualité, je n’en manquais pas une miette dans vos miroirs, pleine de vigueur en véritable Déesse sexuelle, et je me trouvais par un miracle que seules les authentiques Dominatrices peuvent produire, devenir une vraie femelle en chaleur pleine de mouille qui aime se faire pénétrer bien profond. Alors que je me sens si bien dans ma vie quotidienne en homme, avec mon corps d’homme, ma mentalité d’homme, ma bite, mes couilles, la seule chose qui m’importait à ce moment était de me faire tringler encore plus fort, encore plus profondément par la Déesse phallique que vous étiez devenue au fil de notre séance. Vous étiez magnifique !

Epuisée mais comblée, grâce à votre maestria sexuelle et votre énergie, je me suis alors lovée le long de votre cuisse afin de vous manifester toute ma gratitude par de tendres baisers sur votre peau qui est si moelleuse. Et c’est alors que vous avez posé dans un geste délicat vos mains protectrices sur ma tête et sur mon dos et que j’ai plongé dans une douce torpeur. Merci…

JéromeL »

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Cette publication a un commentaire

  1. jouet bertrand

    on sent toutes la fougue que Maîtresse Gladys a de rendre ces soumis plein de vénération à son endroit en sublimant leurs arrières….

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