Juliette face à son destin de putain sadienne

Juliette Sade bdsm

Sans conteste, la séance du poireau bio constitue un tournant dans la destinée de Juliette. Il y a un avant et un après. Lors d’une nouvelle séance, ma Pupute s’est enfoncée un peu plus dans le stupre et la luxure. Je dois reconnaitre que le grand plaisir du dressage, consiste à fournir le moindre effort pour parvenir à mes fins. Désormais Juliette comprend très vite où est son intérêt, et obtempère ou se laisse faire. Ainsi la dévergondée semble suivre la destinée de son homonyme : Juliette, scandaleuse héroïne du Marquis de Sade, assumant haut et fort sa dépravation, ce qui lui vaudra succès et bonheur. Contrairement à sa soeur plus célèbre, la pauvre Justine… Comme quoi chez le Marquis comme chez Maîtresse, plus tu lâcheras prise sur tes vertus, plus ton infortune te sera profitable. Il suffit de lire le nouveau compte-rendu de ma Pupute.

 » Afin de poursuivre mon éducation (non pas sentimentale comme l’aurait souhaité Flaubert)  mais plutôt sur les chemins du vice, comme mon surnom m’y prédestine, j’entrepris de rendre une nouvelle visite à Gladys, notre Maitresse intransigeante.

Me voilà, comme à mon habitude, rapidement douché, et présenté nu comme un ver à ma si belle Maîtresse, prêt à passer un moment pour m’accomplir dans ma dépravation.

La chaleur étant présente dans l’atmosphère, (avant de l’être sur mon corps), point de perruque ni de tenue habituelle d’une pute des grands boulevards, juste un string et des bas, pour rester légère, mais n’en n’être pas moins pute.

Rapidement ligoté, me voici soumis (aux deux sens du terme) aux mains de feu de Gladys, pour réchauffer mes petites fesses de ses caresses enchanteresses et diaboliques, ligoté aux barreaux de son antre, et parfois masqué pour perdre toute notion de l’espace et du temps.

Mes fesses étant à toute épreuve, elle entreprit alors pour son plaisir comme pour le mien, de passer à d’autres ustensiles, comme la badine (« on ne badine pas avec l’amour », comme le disait De Musset, par contre on peut badiner son soumis sans vergogne), ou encore la cravache, afin de chauffer, rosir mon postérieur, et me procurer ainsi ce délicieux mélange d’excitation, de souffrance, et de plaisir.

Mes tétons n’étaient pas en reste, Gladys s’en est occupée avec vice, application, pincements et succions, me procurant ainsi un vif mélange de souffrance, de plaisir, de désir, gouté ainsi par les lèvres de Gladys, maltraité par ses doigts vicieux pour accomplir sa tâche.

Le feu étant sur mes fesses et dans mon corps, elle eut la délicatesse et le vice, de rafraîchir ponctuellement de glace mon postérieur, et de crachats sur mon corps, crachats évidemment mérités, pas seulement pour me rafraichir, mais pour me ramener à ma condition de dépravée.

Je pensais là ma punition suffisante, même si mon corps encaissait ces coups pour le plaisir de Gladys, avec docilité et application, mais il n’en n’était rien, changement de lieu pour rejoindre le lit, sur le dos, toujours ligoté des bras, et une barre d’écartement pour mieux me figer dans la position du soumis.

J’eus alors le plaisir de gouter les pieds de Maitresse, ses divins orteils, agrémentés parfois de fruits de saison, qu’il me fallait reconnaître les yeux bandés, et lorsque je n’y parvenais pas (sotte que je suis !), la punition tombait naturellement.

Enfin, et en l’absence de vraie queue à sucer, Gladys revêtit son plus beau gode ceinture, et me le fit avaler, sucer, lécher, pour ne surtout pas perdre le geste lorsque la prochaine occasion se présentera de m’affairer sur un chibre bien réel celui-là.

Éjaculant sans plaisir, le gode dans la bouche, je crûs même qu’elle allait le frotter à mon foutre et m’obliger à le lécher, mais je fus épargné de cette fin nourrissante.

Une séance intense avec Gladys, pour continuer à lui donner plus, toujours plus, et qui m’inspire en conclusion cette citation du Marquis de Sade : « La véritable sagesse, ma chère Juliette, ne consiste pas à réprimer ses vices, parce que le vice constituant presque l’unique bonheur de notre vie, ce serait devenir soi-même son bourreau que de les vouloir réprimer. » (Histoire de Juliette ou les prospérités du vice)

L’un de mes soumis m’a demandé récemment s’il pouvait partager mes posts et autres compte-rendus sur ses réseaux sociaux. Bien sûr ! Ce n’est pas parce que je n’ai pas de comptes sur les fameux réseaux, que je refuse d’y apparaître totalement. « Très bien Maîtresse, mais mon profil risque de sauter avec les photos suggestives des vignettes ». Sache que je fais attention, par exemple pour le compte-rendu de Juliette, j’ai créé une vignette qui devrait peut-être passer la censure, un petit montage assez surréaliste qui rappelle un peu Magritte. L’essentiel y est : la peau fouettée. Bon après réflexion, je ne suis pas certaine à 100% que les bots de détection ne trouvent pas ça bizarre… 

Juliette Réseaux

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