J’ai l’impression que le destin me pousse vers l’élevage de chiennes. Peut-être que rejoindre mon cheptel de Puputes, deviendrait un grand lâcher-prise salvateur face aux vicissitudes actuelles, la société traversant un moment de troubles profonds. Alors foutu pour foutu… autant se lâcher pour la plus grande joie de Maîtresse !
Voici encore un témoignage de Juliette, en pleine ascension dans la galaxie des Puputes de compétition. Si tu suis le blog, le soumis désormais soumise n’en est plus à ses débuts. Dernièrement, Juliette a franchi un grand pas dans l’abandon, une étape supplémentaire vers son destin de suceuse : le pompage d’un authentique gland, un poireau bio. Et ceci juste pour mon bon plaisir. Je suis fière d’elle. Voici ce qu’elle en a retenu.
« Pour ce nouveau rendez-vous avec Maîtresse Gladys, j’avais émis le souhait de poursuivre ma formation de petite pute suceuse, en m’engageant à déguster ma première bite, Maîtresse Gladys avait donc tout préparé pour ce premier rendez-vous dans son boudoir.
Me voici donc, une fois douché de la tête à la bite aux pieds, vêtu comme une catin, perruque blonde, bas, et petite robe rouge de pute des grands boulevards.
Maîtresse Gladys fit rapidement entrer Sissy, un soumis prêté pour l’occasion par une autre Maîtresse, habillé également comme une grande (par sa taille) catin tout de rouge vêtue. Je fus rapidement placé à genoux, prêt à réaliser ma première pipe de petite pute, avec dévotion et motivation pour satisfaire la plus envoutante des Maîtresses.
Après tout, c’était ma demande, alors il n’y avait plus qu’à donner le meilleur de moi-même pour satisfaire ma Maîtresse… J’entrepris d’exciter Sissy donc l’érection ne tarda pas à jaillir, me présentant une belle bite bien raide, que je recouvris d’un préservatif avec ma bouche toute lubrifiée de plaisir.
Je trouvais un plaisir certain à engouffrer cette bite d’une taille raisonnable, et à exercer des aller retours avec ma langue, à l’engouffrer bien profondément, et à la branler avec ma petite main, tout cela sous les yeux et les petites fessées de Maîtresse, qui prenait un évident plaisir à me voir ainsi accomplir ma besogne avec sérieux et motivation.
Je fus arrêté avant que Sissy ne puisse jouir, il en était visiblement interdit.
Après une pause pour me faire rosir mes petites fesses sous le fouet de Maîtresse, me voici pour un second round, sur le lit, entre les jambes de Sissy, à m’affairer de nouveau sur sa bite pour lui donner du plaisir et en donner à Maîtresse Gladys, visiblement satisfaite de mon sérieux, de mon entrain, et de mon savoir-faire pour me saisir à pleine bouche de cette belle bite bien raide et appétissante.
Comme ce fût là ma première expérience, je ne compris pas à quel moment je devais m’arrêter pour que Sissy ne jouisse pas, et comme je continuai quelques secondes de trop, Sissy éjacula dans un râle de plaisir excitant.
J’avais commis une erreur de débutante, et je fûs donc punis comme il se doit, allongé sur le lit, mes fesses tendues vers Maîtresse, pour une punition donc je me souviendrai longtemps, mais qu’il était plaisant de recevoir pour donner cette souffrance à ma vénérée Maîtresse.
Une fois la punition passée, et Sissy ne pouvant plus m’offrir son chibre raidissant, je fûs alors autorisé par Maîtresse à me finir, pour éjaculer dans la gamelle du chien, n’était-ce pas là une heureuse conclusion pour la chienne que j’étais ainsi devenue.
Une première expérience de suceuse née, vaillamment accomplie par ma bouche et ma langue folles. »