Une nouvelle proie facile a rejoint mon cheptel avant le reconfinement. Jck est un soumissot au corps svelte. Il semble si fragile… que j’ai cru le briser. Je l’ai transformé en petite salope de bas étage, un rôle qu’il a endossé plein de bonne volonté. Pour finalement se prêter à mes caprices avec délice. Jck s’en est sorti sans dommage, la preuve avec son témoignage.
« Nerveux, je sors de la station de métro toute proche de l’antre de Maîtresse. Il est l’heure. Mon téléphone sonne, je m’empresse de répondre : je comprends que Maîtresse s’impatiente et qu’une minute de retard est déjà de trop.
Elle me donne les instructions pour la rejoindre et j’entre enfin dans l’appartement. Elle m’accueille, en tenue complète de domina, sourire malicieux aux lèvres. Vertige. Elle m’ordonne de me déshabiller d’un ton sec et autoritaire et déjà, je sens l’excitation monter en moi.
Je suis désormais nu au milieu dans son appartement : je n’ai sur moi qu’un string ficelle, qu’elle m’a demandé de porter en venant, ma cage de chasteté et un plug qui dilate doucement ma chatte anale. Elle tourne autour de moi, m’ordonne de me tenir droit.
La séance commence par une inspection : debout, le buste penché en avant, j’écarte mes jambes afin de lui laisser le loisir de découvrir et de jouer avec mon plug. Elle me pince les tétons, tire sur ma cage pour tester son élasticité, prend quelques photos de moi ; je suis déjà à sa merci.
Cette étude terminée, elle décide de m’habiller selon ses envies.
Après une courte séance d’essayage, je suis maintenant vêtue d’une robe courte, de long bas fins et d’une perruque qui subliment ma silhouette de petite salope. Maîtresse termine par une petite touche de maquillage et décide de me faire porter une paire de talons. Elle me fait marcher dans l’appartement et se joue de ma maladresse et de mon manque d’équilibre. L’objectif est clair : je vais devenir pour Maîtresse une petite pute accomplie.
Enfin, un premier ordre tombe : « Tu vas me montrer ton dévouement. Viens-ici et masse moi les pieds. »
Elle profite de ma position de soumis, à genou devant elle, pour m’attacher deux laisses: une autour du coup, nécessaire, et l’autre, autour de mon sexe en cage, sur laquelle elle tirera de manière régulière jusqu’à la fin de la séance pour ponctuer chacune des tâches qu’elle me confie de mes gémissements, pour sa plus grande satisfaction.
« Est-ce que je t’ai dit d’embrasser mes jambes? » Elle me gifle pour me remettre à ma place et semble se délecter de mon absence de réaction, marque de ma soumission. Je sens les derniers soupçons de fierté s’effacer à mesure que je deviens sa pute personnelle.
Elle décide alors d’accrocher une pince à mes tétons, une envie qui semble la titiller depuis plusieurs minutes. Je sens ma queue pousser fort sur ma cage mais sans succès, pas d’érection pour moi aujourd’hui. Je suis entièrement dédiée à son plaisir.
Après m’avoir fait lécher ses pieds et ses chaussures, se moquant du zèle dont j’essaye de faire preuve pour l’impressionner – je commence à comprendre l’importance de la retenue – elle estime que mes mouvements sont pour l’instant bien trop libres: elle décide alors de me bâillonner, de me bander les yeux et pose sur moi un pilori. À quatre-pattes, je ne peux plus bouger, ni voir. Je ne peux qu’encaisser, subir ses gifles et fessées, qui montent graduellement en intensité alors que la brûlure des pinces sur mes tétons me fait perdre toute notion du temps.
Après plusieurs minutes de ce traitement, satisfaite par mon obéissance, Maîtresse me libère et me promène jusqu’à son lit, tirant toujours sur les deux laisses qui n’ont jamais quitté sa main. Elle porte maintenant autour de la taille un gode ceinture dont je devine qu’il viendra sublimer cette séance ; je suis devenu un jouet sexuel, et il convient maintenant de la satisfaire en conséquence.
Elle m’ordonne de le prendre en bouche et de commencer à sucer. Elle se réjouit cette fois-ci de mon engouement, en profitant pour me récompenser de petites claques, qui me remettent une nouvelle fois à ma place, ce qui me plait de plus en plus à mesure que le temps passe.
Enfin, le moment tant attendu est arrivé : à quatre-pattes au bord du lit, elle retire le plug qui ne m’avait jusqu’alors pas quitté. Elle s’exclame : « Ah oui, ce n’est pas un petit modèle! », ce qui me remplit d’une sensation de fierté étrange que je n’avais pas anticipée. Là, sous ses coups de hanche de plus en plus vigoureux, je gémis, frémis du plaisir d’être enfin rempli et limé par ma domina. Elle me retourne alors sur le dos, m’attache avec un harnais qui expose complètement ma petite chatte anale et m’offre à elle sans aucune résistance possible. Mes jambes tremblent de plaisir et je m’abandonne complètement à mon sort. Il n’y a alors plus aucun doute, plus d’autre issue possible : je lui appartiens complètement. »
J’aime lire les compte rendu et je souris de tous ces moments vécus auprès de ma Maîtresse, même si je trouve que JCK est un peu trop fier d’affirmer qu’il est un bon soumis! Qu’est -ce qu’être un bon soumis? Est-ce nous qui devons l’affirmer?