Le hasard couplé à ma perversité, ont encore été désastreux pour mon puceau

jeu de hasard BDSM dominatrice

Mon puceau ne manque pas de ressources, il suffit de lire ses précédentes aventures. De plus en plus, je me lâche à ma guise sur le godelureau. Jusqu’où vais-je aller ? Bref, la séance n’a pas été triste. Un peu comme les Barbes à papa, Raphie se transforme à volonté : défouloir en string, toutou lécheur de gamelle et de pieds, ou encore beau lavabo… bientôt en laid bidet, qui sait ! Son témoignage :

« Après une séance, ou je n’ai pas réussi à satisfaire maîtresse Gladys en obéissant aux doigts et à l’œil à ses ordres, je décide de contacter maîtresse Gladys pour recevoir une punition bien mérité.

Après cette période de vacances, de jeux olympiques et paralympiques, et en cette période de rentrée j’apprends de maîtresse, que je suis sélectionné pour jouer les prolongations aux jeux olymTriques dans la catégorie « freluquet dépravé », et que maîtresse ne reculera devant rien pour obtenir un score de champion au épreuves de cette prochaine séance. 

Pour nos jeux, maîtresse m’ordonne de me procurer un bâillon laterine, ne trouvant pas l’article en boutique, je pris la décision, pour ne pas décevoir maîtresse de commander le bâillon et de me le faire livrer en point relais près de chez moi, cependant petit problème, le carton est arrivé entré ouvert et la jeune femme du point relais m’a alors montré le contenu du carton en me demandant si il s’agissait bien de mon colis ( je suis donc passé pour un gros pervers.

Enfin viens le jour de notre séance, 

Encore plus nerveux et stressé que pour notre première séance je me rend chez maîtresse Gladys, qui m’avait prévu une séance en deux temps, avec deux jeux distincts des plus pervers.

Commence alors le premier jeu de hasard :

Un bol avec des morceaux de papiers, torture ou humiliation, le hasard faisant bien les choses, le tirage au sort fit apparaître une alternance de tortures et d’humiliations. 

Je fus donc au premier tirage debout poignets attachés, et maîtresse Gladys entrepris de me torturer les tétons, de me fesser et de me donner quelques coup de martinet, le savoir faire de maîtresse Gladys se ressent dès les premiers impacts, ce qui est des plus délectables. 

Au deuxième tirage maîtresse me fit m’allonger sur le dos, une nouvelle fois attaché par les poignets, mais maîtresse avait pensé à mon confort avec un petit coussin, un plug dans le cul je fus invité à lécher les crachats de maîtresse sur ses mains et ses pieds.

Pendant que j’étais attaché et à sa merci, maîtresse en a profité pour me brosser la bite a l’aide de 2 brosse, ce qui a eut pour effet de rendre ma petite chose toute irritée et sensible ( j’ai vraiment adoré).

Une fois toute rouge maîtresse s’adonnât avec un certain sadisme à de la stimulation électrique couplée à de la sauce piquante sur mon bout rouge et sensible, le feu ne tarda pas à se faire ressentir.

Je pris une petite douche pour la suite, mais la sensation de brûlure était toujours là.

Maîtresse me fit porter une cagoule avec des oreilles de chien et me mis un plug en forme de queue puis elle me retira la queue me servi de la pâte pour chien dans une gamelle et me fit manger pendant qu’elle me chevauchait, puis voyant que je n’avais pas encore fini ma pâte et bien décider à m’humilier me fit me masturber et jouir dans la gamelle contenant le reste de pâte pour chien, elle touilla ensuite le tout avec ses pieds et me fit lécher le mélange de sperme et de pâte pour chien (sur ses pieds). Maîtresse Gladys a pris quelques photos bien gratinée qu’elle glissera dans sa prochaine newsletter.

Vint ensuite le temps du deuxième jeu de hasard, 6 verres dont deux contenant le champagne de maîtresse Gladys, que je devais tiré au sort, et maîtresse pourrait verser le contenu dans le bâillon laterine, évidemment après quelques tour je fini par tomber sur l’un des verres contenant de l’urine Gladysienne, que je dû boire et enfin tout honteux et humilié maîtresse m’ordonna de me masturber là devant elle au milieu de la pisse que je n’avais pas pus boire, je ne parvînt malheureusement pas à jouir, maîtresse me dit alors de me finir le soir même chez moi comme un pov toutou dans son coin, ce que je fit.

Petite douche et la séance était fini, nous avons pris le temps de discuter, conversation qui restera de l’ordre du privé ici,

Et je répartis vers le chenil d’où je venais. 

Encore merci à vous maîtresse de faire de mes fantasmes une réalité dans la bonne humeur.

Ps : je ne prends pas de plaisir tout le plaisir est pour vous ! »

Cette publication a un commentaire

  1. Cécile

    Que d’idées intéressantes.
    Où s’arrêtera votre perversité ?

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